Le Hirak, mouvement de contestation populaire anti-régime qui a commencé début 2019 et qui avait abouti à la mise à l’écart du président Abdelaziz Bouteflika, a repris ses marches de protestation contre l’élite au pouvoir fin février, après un an de suspension à cause de la pandémie. À l’approche des élections législatives anticipées du 12 juin, rejetées par le Hirak, la répression s’accroît.