Les dirigeants politiques et financiers de la planète ont beau multiplier les déclarations rassurantes visant à minimiser l’ampleur et les conséquences de la tempête boursière, elle souffle bien et de plus en plus fort. C’est le cas à Paris comme ailleurs, où le CAC40 a enregistré son plus bas niveau de l’année. Les commentaires autorisés commencent d’ailleurs à changer de ton. Alors que Bush niait toute conséquence sur la croissance, le secrétaire américain au (...)