La droite tchèque profite avantageusement des chaleurs caniculaires qui règnent sur cette partie de l’Europe pour faire passer en force et à la hâte toute une série de “ réformes libérales, modernes, indispensables, inévitables, “ et ... “ européennes ”. Depuis que le Parti civique démocratique (ODS), jadis “ résolument eurosceptique ”, a fait volte-face en approuvant le mini-traité, “ le parti du président Klaus ” apparaît décidément (...)