Djamila a dû d’abord se battre pour être admise par ses pairs et son père au sein du FLN. La bombe, finalement désamorcée par les artificiers, ne fait aucune victime. Pour Gisèle Halimi, son avocate « elle n’avait pas commis d’attentat mais était sur le point d’en commettre un ». C’est son procès qui sera explosif.