Les gouvernements du monde entier déversent des aides massives pour les sociétés de capitaux (exonération de cotisations sociales, chômage partiel, prêts bonifiés…) au nom de la prétendue sauvegarde de l’économie et de l’emploi. Nos budgets publics sont donc massivement sollicités pour sauver le patrimoine des actionnaires sans aucune contrepartie : la reprise boursière en est le témoin le plus criant.