Les boules puantes, les procédures bidon et les lignes directes entre procureurs, policiers et journalistes ont démarré. Mercredi 1er juillet, un article du Canard Enchaîné : « nouvelle enquête préliminaire contre Jean-Luc Mélenchon ». Mais dès le mardi soir, l’AFP et BFM avaient les infos nécessaires pour salir grâce a une « alerte » par fil Twitter. Des mots comme « abus de confiance » ou « recel », mais aucun fait.