Les barbares du gouvernement brésilien s’en prennent à madame Macron comme ils le feraient avec n’importe quelle femme. Nous le voyons quand ils considèrent les critères d’apparence physique comme un argument opposable à une femme parce qu’elle est une femme. Nous le voyons encore quand le reproche est adressé à son compagnon dont elle est considérée comme un simple ornement plus ou moins performant dans ce registre.