La promesse d’une nouvelle loi sur l’immigration et l’asile, trente mois après l’adoption d’un premier texte, doit interroger quant à l’objectif recherché. C’est, nous assure-t-on, une nécessité pour doter la France d’une immigration choisie. Ce terme, très discutable dans ce qu’il comporte de stigmatisation à l’égard de centaines de milliers de nos compatriotes et de leurs enfants originaires de pays tiers et venus nous rejoindre (...)