« Rénovation », « re-construction », « re-fondation » : au parti socialiste, depuis la défaite, chacun s’imagine en architecte. Mais pour l’heure, des archéologues seraient plus utiles pour comprendre l’origine de nos désillusions.
Qu’il faille un leader rassembleur et sérieux, c’est entendu. Que le PS soit plus qu’une belle machine électorale, c’est souhaitable. Qu’il doive occuper tout le champ de la gauche depuis les antilibéraux (...)