La forte hausse des suicides au niveau de la catégorie d’âge des 24/55 ans, en commutation de celle, plus jeune, des ados qui a tenu le palmarès par le passé, apporte bien de nouveaux éléments quant à l’origine du mal-être poussant à l’autodestruction. En premier lieu, les 35/54 ans occupent à eux seuls environ 50% des 4 000 à 5 000 suicides enregistrés en France. Ils marquent que les aléas de l’existence, pour en finir avant l’heure, sont le principal mobile. (...)