Éric Coquerel, du Parti de gauche, voit « un accord Sykes-Picot inversé, où les acteurs de la région s’accorderaient pour tracer de nouvelles lignes sous l’égide de l’ONU, ce à quoi la France devrait aider en convoquant une conférence internationale de la paix. On ne réglera rien au Moyen-Orient si deux peuples historiques n’y ont pas un toit : les Kurdes et les Palestiniens », dit-il.