Parmi les guérilleros qui s’apprêtaient à déposer les armes et à les remettre à l’ONU dans un délai de six mois, figure l’une des deux Européennes présentes dans les rangs des FARC, la Française « Nathalie Mistral ». Quelques semaines avant ce qui apparaissait comme une très proche démobilisation, les journalistes Maurice Lemoine et Pierre Carles l’avaient rencontrée.