L’immersion du vivant dans la sphère économique et politique est de plus en plus large et profonde. L’État et les firmes privées déterminent toujours plus précisément et plus massivement nos conditions de vie non seulement dans la sphère productive mais dans tous les domaines de la vie privée et de la société civile jusqu’à modeler notre subjectivité. On a constitué ici une base interdisciplinaire relativement vaste sur la biopolitique.