Parce que le pire est désormais probable, nous devons aussi travailler activement à un plan global d’adaptation de la France aux effets du changement climatique, en métropole et dans les outre-mers. Nous n’avons en effet pas d’autre choix que de nous préparer à assumer demain les conséquences dramatiques des fautes des dirigeants d’aujourd’hui.