Le 29 juin, Michel Sapin a pris la défense du FMI indiquant que cette institution ne répond pas de son action devant l’Europe mais devant l’ensemble des pays du monde. "Et, dans ces pays du monde, savez-vous ceux qui étaient les plus exigeants ? L’Argentine, le Brésil. Ayant bénéficié dans le passé de l’aide du FMI, ils réclamaient de Christine Lagarde, patronne du FMI, d’être inflexible avec la Grèce."
C’est fort comme argument, n’est-ce pas ? (...)