Cela a permis à Manuel Valls d’être le premier à tirer les leçons du scrutin dès 20h05, non pour l’analyser mais pour tenter d’en imposer sa vision et faire croire que le « score honorable » que prêtaient les instituts des chaînes dominantes à sa majorité valait quitus pour sa politique. La ficelle est si grosse qu’elle ne fera pas illusion très longtemps.