Ici il s’agissait pour moi d’être aux côtés de mes amis dans un moment bien particulier, celui de la commémoration de l’assassinat de Chokri Belaïd, dirigeant national progressiste tunisien il y à peine deux ans en pleine révolution tunisienne, quand le parti religieux était le plus menaçant. Cet évènement fut suivi six mois plus tard par l’assassinat de Mohamed Brahmi.