Pourquoi était-ce important pour vous d’être présent à cette convention ?
On a des contacts depuis de nombreuses années avec un camarade franco-tchèque de l’Isère, Karel Kostal, membre du parti social-démocrate tchèque et, en France, militant PRS, socialiste et syndicaliste. Nous faisions partie d’un petit groupe de réflexion regroupant des universitaires, des intellectuels, et il nous a dit que nous pouvions être intéressés par l’expérience française.
En (...)