Myriam Martin revient sur les élections européennes et le piètre score du Front de gauche, dont elle était tête de liste dans l’Ouest et qui n’a pas su convaincre qu’il représentait une alternative à gauche. Le FDG doit d’abord « dépasser ses limites de cartel », puis constituer « un front commun anti-austérité » et « oser porter un projet de société émancipateur ».