Normalement, si la grande presse ne lui était pas éhontément favorable, elle aurait dû l’exploser en plein vol. Les titres du Monde, de Libé, des radios, des télés, auraient du être : « Khrach chez Sarkozy : il a fait erreur sur toute la ligne », « Crise totale dans l’équipe Sarkozy » « Ségolène peut être rassurée : Sarkozy descendu par les siens », « toute la campagne de Sarkozy réduite à néant par les siens ». « Fillon, Méhaignerie poignardent Sarkozy alors qu’il est à (...)