Incapable de constituer une majorité, même relative, pour passer en tête, le SPD avait comme seul salut la constitution d’une coalition alternative. A peine les premières projections affichaient une majorité SPD-Die Linke-Verts, de 319 députés que le dirigeant du SPD rejeta ce scénario, répétant une position exprimée pendant la campagne. Et finissant d’ouvrir la voie à Merkel.