Il faut que les mêmes, qui se plaignent de l’incertitude de leurs lendemains et en prennent prétexte pour ne pas investir, nous disent pourquoi la précarité et la flexibilité seraient bonnes pour les salariés. La réalité, mieux, le réalisme, c’est que la précarité ce n’est bon ni pour l’économie, ni pour les humains.