Avant le sommet européen de Bruxelles qui s’est tenu jeudi et vendredi, François Hollande avait fait preuve d’une grande autorité : on allait voir ce qu’on allait voir, la Commission Européenne n’allait pas dicter à la France sa réforme des retraites.
Qu’a-t-on vu ? Un nouvelle capitulation après celle sur le TSCG. Ou, soyons juste, cette fois-ci un mot, un seul a été changé pour pour qu’il ne rentre pas totalement bredouille : le report de "l’âge (...)