lundi 4 février 2013
par BENOIT SCHNECKENBURGER, PG
Des OGM à Fukushima, l’évidence de la crise écologique interpelle chaque jour le citoyen. Or le souci de soi et celui de la nature ne suffisent plus, même s’ils prêtent à penser, pour construire notre avenir, si nous ne leur associons pas une conscience politique.
Le socialisme et l’écologie ont en commun de refuser la primauté de la rentabilité à court terme du capitalisme. Si le premier semble proclamer l’humain d’abord et le second l’écosystème avant (...)