Le militantisme anticapitaliste conduit à rencontrer beaucoup de camarades avec lesquels l’on sympathise au fil des mois. J’ai compté Momo comme un ami cher dès la première année de notre action commune :
Maurice le méditerranéen, à la voix chantante, à la plaisanterie toujours au bord des lèvres, au rire puissant comme le tonnerre
Maurice, l’animateur de nos conviviales réunions mensuelles des années 1990 où le vin coulait aussi bien que la parole
Maurice le vrai (...)