Le Front de gauche est confronté à deux questions essentielles, celle de son positionnement après l’avènement de la gauche au pouvoir et celle de son fonctionnement interne.
« Ne cassons pas l’espoir », confie Amadou Démé, responsable communiste, à Grigny, dans l’Essonne. « Ne donnons pas le signe que l’on traîne des pieds », met en garde Claude Michel, syndicaliste, sans parti. L’inquiétude qui apparaît ici et là dans les rencontres du Front du gauche révèle (...)