Le Sénat vient d’adopter la modification du traité de Lisbonne et l’institution du Mécanisme Européen de Stabilité (MES) grâce à l’abstention des sénateurs socialistes.
Il n’y a pas aujourd’hui les 60 députés ou sénateurs ayant voté contre et disponibles pour saisir le Conseil Constitutionnel. Et pourtant il y a un doute sur la constitutionnalité de ce traité, même Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice socialiste, le reconnaît.
Le Parti de Gauche en appelle donc (...)