Les Grecs ont faim, mais leurs arsenaux de guerre sont remplis. Et ils continuent à acheter des armes.
Cette année 3% du PIB vont êtres brûlés en dépenses militaires. Seuls les États-Unis, en proportion,peuvent s’en permettre autant. Mais qu’est-ce-qui pousse Athènes à dépenser ainsi des montagnes ? La peur des Turcs ?
Non, c’est la cupidité de Merkel et Sarkozy.