Nous savions que la sacro-sainte « liberté de la presse » n’avait jamais été qu’un mythe. Nous savions que les valeurs dont nos médias s’entichaient n’étaient qu’un fragile paravent pour duper les plus naïfs. Mais pouvions-nous imaginer qu’ils n’aient même plus peur de montrer eux-mêmes au grand jour leur visage monstrueux ?
Ainsi, comme le relate le journal Le Monde [1], « les dirigeants de neuf chaînes de télévision et de radio ont adressé, lundi (...)