Le 12 janvier ont débuté en Roumanie les premières manifestations de l’année contre le gouvernement et « l’austérité ». L’élément déclencheur, ou plutôt la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, a été la réforme (et la privatisation à terme) du système de santé. Opposé au président roumain, Traian Basescu, le sous-secrétaire d’État au ministère de la Santé, Raed Arafat, a démissionné. Il s’opposait en effet publiquement à la privatisation du SMURD, le (...)