Après avoir imposé à l’Italie les politiques d’austérité voulues par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy qui ont entre autre portées à l’allongement de la durée de cotisation retraite à 67 ans. Après avoir mis en place un programme de libéralisation de l’économie qui se traduit par une attaque au "rentes de position" des chauffeurs de taxi mais qui oublie de s’intéresser aux privilèges dont jouissent banques et assurances. Mario Monti continue son travail de (...)