Sarkozy, en 2008, assurait n’avoir jamais reçu mandat pour toucher à la retraite à 60 ans, il complétait en affirmant que cela n’était pas nécessaire et qu’il la maintiendrait donc. Il se reniait en 2010 et trahissait sa parole en imposant ensuite avec Woerth et Fillon une loi pour la retraite à 62 ans et à 65 ans à taux plein.
Sans qu’il n’y ait eu aucune urgence, aucune obligation significative nouvelle, sauf paraît-il, le chantage des fameuses agences de (...)