Si le mercredi 24 août la grève nationale de deux jours (24 et 25 août), appelée par la Centrale unitaire des travailleurs (CUT), la principale confédération syndicale du Chili, a été qualifiée de faible par le gouvernement de droite de Sebastián Piñera, l’adhésion à celle du 25 août a été inégalable au-delà de tout espoir. Des centaines de milliers de personnes ont défilé depuis différents endroits de la capitale en direction de la principale avenue de Santiago, la Alameda. En (...)