mercredi 7 septembre 2011
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
Quel été ! Une tempête estivale a balayé les places boursières. Et ce n’est pas fini. Cela va même s’aggraver. Car la violence du choc a laissé intacte une des causes principales de cette crise. Je veux parler de l’aveuglement des puissants qui dominent la scène. Ils s‘agitent, interrompent spectaculairement leurs vacances, multiplient les communiqués, les sommets extraordinaires, les rencontres et indiscrétions, week-end compris avant que les grandes places (...)