La décision qu’a prise Berlusconi d’anticiper les choses, en obéissant ainsi aux diktats de la Banque Centrale Européenne (BCE) et des « marchés internationaux », nous révèle l’hypocrisie des litanies entendues durant ces derniers mois. La traduction de la crise économique est bien ce à quoi nous nous attendions, un Nième massacre social, produit par la course effrénée au profit d’un capitalisme qui ne sait pas garantir ni le bien-être ni la dignité.
Grâce au (...)