Le meeting de lancement de la campagne du Front de gauche, mercredi à Paris, a rassemblé un public métissé, jeune, sensible à l’unité affichée. Un appel est lancé pour bousculer les scénarios établis par la sphère politico-médiatique.
« Mélenchon a remplacé son “je’’ par le “nous’’ », fait remarquer Clémentine Autain, aux journalistes, particulièrement surpris par la teneur du meeting de lancement de la campagne du Front de gauche. Ce « nous » est (...)