Le gouvernement hongrois de Viktor Orban a pris, en janvier 2011, la présidence de l’Union européenne, avec une loi sur la presse très autoritaire (le Conseil de la presse est monopolisé par le FIDESZ, le parti de droite au pouvoir). Autre facteur inquiétant : l’existence du Jobbik, parti d’extrême-droite anti-sémite et anti-Rom ; ses groupes paramilitaires terrorisent la population Rom en toute impunité.
Viktor Orban ne s’est pas arrêté en si « (...)