Comme tant d’autres camarades, je quitte le Nouveau Parti anticapitaliste sur la pointe des pieds. Je ne regrette pourtant pas de l’avoir rejoint il y a deux ans. Le NPA souhaitait se donner les moyens d’en finir avec l’hégémonie à gauche d’un Parti socialiste qui n’a tiré aucune leçon de la crise du capitalisme et qui vient de se rallier aux institutions monarchiques de la Ve République.
Le nouveau parti semblait le mieux placé pour rassembler une (...)