Le dessin : une Marine le Pen souriante (visage angélique de Claire Chazal), un Jean-Luc Mélenchon dont le rictus et les sourcils révèlent une méchanceté soulignée par un poing levé qui ne demande qu’à s’abattre. Les deux, brassard au bras, à la SS, lisent le même discours intitulé « Tous pourris ».
On trouve peu de défenseurs de cette vilenie, même parmi la classe médiatico-politique qui s’alarme de la montée en puissance d’un tribun qui rompt avec le style policé (...)