Opposante au régime de Ben Ali, cette chercheuse tunisienne et militante d’extrême gauche revient sur des années de répression et d’engagement clandestin.
Vous avez quitté la Tunisie en 1993. Qu’est-ce qui vous a poussée à partir ?
Olfa Lamloum. À l’époque, je militais dans une organisation d’extrême gauche, les Communistes révolutionnaires (section de la IVe Internationale en Tunisie). Je militais aussi dans l’association (...)