Signé entre 193 pays, dans la nuit de vendredi à samedi, l’accord sur la diversité biologique a eu vite fait d’être vu comme une fenêtre ouverte sur une nouvelle ère. Un peu trop vite ?
Pour que la chose soit claire, on l’a écrite cinq fois dans le communiqué officiel : l’accord sur la préservation de la diversité biologique signé à l’ONU a quelque chose à voir avec l’histoire. Celle-ci « se souviendra que c’est ici, à Nagoya, qu’une (...)