L’affaire de Karachi a décidément un curieux effet sur Nicolas Sarkozy. À la seule évocation devant lui de cette histoire de vente de sous-marins au Pakistan, en 1994, de commissions et de rétrocommissions, le Président « décompense », comme diraient les psys. Bref, il disjoncte. On se souvient des images du premier incident public. C’était à Bruxelles, le 20 juin 2009. On en a retenu un seul mot : « Fable ». Mais on y voyait surtout un Président secoué de tics, comme (...)