Le premier ministre Jan Peter Balkenende avait convoqué ces élections dans l’espoir de renforcer sa coalition de "centre-droit" (chrétiens-démocrates et libéraux).
Aujourd’hui, le résultat est inverse de celui qu’il espérait ; la seule nouveauté du scrutin, c’est la percée considérable de la gauche anti-libérale, dans les milieux populaires et aux dépens du parti travailliste.
Le parti travailliste (Internationale socialiste), deuxième force politique du pays, est (...)