Il n’est jamais bon pour un président de parler sous la contrainte. Surtout quand il répète devoir « garder son sang-froid ». Nicolas Sarkozy a dû se plier à l’interview menée par David Pujadas, lundi 12 juillet sur France 2, à cause des développements de l’affaire Bettencourt-Woerth et pressés par des élus de sa majorité de s’exprimer. Il y avait urgence car les fondamentaux du sarkozysme tremblent sur leurs bases, je veux parler du règne de l’argent (...)