dimanche 8 mars 2015
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
Dans le calvaire grec, la responsabilité des dirigeants politiques du pays est écrasante. Non pas que le Grec soit génétiquement dépensier et corrompu comme on le susurre. Le refrain des élites européennes est connu : les pauvres ne savent pas gérer l’argent qu’on leur donne. Bon prétexte pour les laisser crever la gueule ouverte. En vrai, la corruption découle du déversement sur une petite économie d’un flot d’argent distribué selon le mode opaque de l’Union (...)