Certes, ils n’ont plus que 95 conseillers régionaux estampillés PCF au lieu de 185 en 2004. Ils ont dû laisser 31 sièges à leurs partenaires du Front de gauche, l’alliance électorale qu’ils ont passée avec le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon et de la Gauche unitaire de Christian Picquet. Ils ont dû aussi admettre que Jean-Luc Mélenchon occupe désormais une partie de leur espace politique. Mais les dirigeants communistes, réunis samedi 27 et dimanche 28 mars, ont (...)