Selon ses partisans, la candidature de Ségolène Royal s’impose pour deux raisons « rédhibitoires » :
1) leur candidate est la mieux placée pour rassembler les socialistes et la gauche ;
2) les sondages la plébiscitent.
La campagne interne est en train de nettement infirmer le premier argument. Loin de rassembler les socialistes et la gauche, Ségolène Royal apparaît diviser profondément son camp. En dépit de l’embargo des médias voulu par le camp royaliste, le rassemblement du (...)