On commençait à peine à se faire à l’idée d’avoir à vivre sans Freitag, avec ses livres et sa pensée bien sûr, mais sans sa personne chaleureuse et rayonnante. Et voici qu’il faudra s’y faire encore, cette fois avec Daniel Bensaïd, autre être d’exception, camarade et ami sans pareil.
Je l’ai connu pour ma part, assez curieusement, grâce à Jacques Dubois, professeur de littérature belge, invité à l’UQAM au début des années 1990 pour assurer un (...)