L’année 2009 s’est terminée sur fond d’impuissance politique mondiale face au réchauffement climatique et de rodomontades face à la crise financière. Les gouvernements britannique et français ont annoncé à grand renfort de trompettes leur intention de taxer les bonus distribués par les banques pour mieux dissimuler les véritables enjeux : le crédit utilisé pour alimenter les marchés financiers sur lesquels spéculateurs et restructurateurs industriels s’activent (...)