"Ils" l’ont écrit, les plus mercantiles ont fourni l’encre et le stylo, les théoriciens du libéralisme ont soufflé les arguments, des représentants professionnels ont cru y voir l’outil manquant à la compétitivité de la viticulture européenne, Bruxelles a parachevé le tout en couchant sur le papier le principe de la dissolution des particularismes culturels du vin.
De quoi s’agit-il ? Rien de moins que de légaliser au niveau européen "l’arrangement" de nos (...)